mardi 22 juin 2021

La fleur et la couleur

Une fois n'est pas coutume, je ne prends pas mais prête (ou plutôt : emprunte) la plume.

J'ai trouvé sous mon oreiller hier ce très joli poème, qu'une joueuse de guitare a écrit entre deux compositions, et dont elle souhaitait que je la chantasse pendant qu'elle jouerait la mélodie. 

Pour une fête de la musique, ce fut une fête de la musique. Elle joua juste, je chantai faux - et mon cœur lui dansa, dansa, dansa.


14 commentaires:

  1. Une adorable complicité. J'aime ces jolies lignes à l'encre fraîche sur papier quadrillé. Douce journée Geotran.

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    1. Une complicité qui enchante ma vie.

      J'en ai écrit, jadis, des poésies sur du papier quadrillé, d'une main malhabile. C'est une tradition familiale je crois !

      Une vie sans poésie : à quoi bon ?

      Douce journée Maryline,
      Pierre.

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  2. Ce fut, j'en suis sûre, la plus belle de toutes les fêtes de la musique du monde.

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    1. Assurément. J'en garde encore les notes sucrées dans la tête.

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  3. Une petite tête blonde à l'âme poétique comme son papa, c'est un joli duo que voilà
    embrasse tes pious pour moi
    des bises champenoises qu'un soleil timide tente d'adoucir

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    1. Merci Christine,

      Oui, c'est sûr cette enfant n'est que poésie, des mots et des sons.

      Le soleil ici a fait demi-tour
      - nos sourires eux sont restés.
      Bises !
      Pierre.

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  4. C'est très touchant, j'espère que tu garderas ce texte toute ta vie. Bises et bonne soirée.

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    1. Merci Elisabeth. Je l'ai en mémoire - et jamais les vers que je retiens ne me quittent.
      Pierre.

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  5. Un joli cadeau pour la fête des papas ou de la musique, voire les deux.. à conserver longtemps.. je reposte, mon premier commentaire ayant disparu.

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    1. Un joli cadeau pour toute les dates de toutes la vie !
      Bonne soirée chère Sedna,
      Pierre.

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  6. Un artiste en herbe par l'âge , au talent confirmé qui, si j'étais son papa, m'aurait étiré des larmes . Heureux papa es tu !

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    1. Tu peux me croire : le Papa est heureux.
      J'aime bien "étiré", comme un cœur s'étire - à l'infini - sans jamais rompre.
      Merci pour ces lignes toutes de sensibilité tissées.
      Pierre.

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  7. Pardon, j'aurais du me relire :"tiré" ....Bon dimanche musical à tous deux

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  8. J'adore absolument la nuit funabulle , tout comme j'adore "dont elle souhaitais que je la chantasse"...poésie, poésie de la langue aussi qui tombe dans l'oubli et le banal...

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